Fin mars, l’Observatoire de l’environnement (OEIL) et le gouvernement ont présenté le fruit de deux études. L’une concernait la standardisation des méthodes de suivi des peuplements de poissons et crustacés dans les rivières. L’autre portait sur la publication d’un nouvel indicateur de l’état écologique des cours d’eau : l’Indice diatomique de Nouvelle-Calédonie (IDNC), qui a nécessité pas moins de sept ans de travaux.