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Le Bilan hydrologique d'octobre 2019 est disponible au téléchargement.
La campagne de reconnaissance géologique des massifs, initiée par le gouvernement, avec le soutien du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et en coordination avec le Syndicat des industries de la mine (SIM), est arrivée à mi-parcours. Avec un regard très positif des habitants des communes concernées, dans l’attente des informations qui seront divulguées en matière de réservoirs potentiels d'eau et sur l’aléa glissements de terrain.
Depuis le 22 août, un hélicoptère muni d’une boucle survole la Grande terre dans le cadre d’une campagne de reconnaissance géologique des massifs. Initiée par le gouvernement, avec le soutien du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et en coordination avec le Syndicat des industries de la mine (SIM), cette opération sans impact pour l’environnement identifie les amas de roches altérées, les réservoirs potentiels d’eau, ainsi que les zones sujettes aux glissements de terrain.
Dans le cadre de la mise en œuvre de son schéma d’orientation de la politique de l’eau partagée, le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a, par arrêté, déclaré d’utilité publique dix périmètres de protection des eaux et fixé les prescriptions applicables à l’intérieur de ces zones.
Fin mars, l’Observatoire de l’environnement (OEIL) et le gouvernement ont présenté le fruit de deux études. L’une concernait la standardisation des méthodes de suivi des peuplements de poissons et crustacés dans les rivières. L’autre portait sur la publication d’un nouvel indicateur de l’état écologique des cours d’eau : l’Indice diatomique de Nouvelle-Calédonie (IDNC), qui a nécessité pas moins de sept ans de travaux.